Critique
Le nombril de la maîtresse. Doué d'un pouvoir magique, le héros de «Point d'orgue» arrête les horloges pour déshabiller les femmes. Quatrième roman de Nicholson Baker qui tourne toujours autour de ses mêmes obsessions, le sexe et le temps. Nicholson Baker, LE POINT D'ORGUE, traduit de l'américain par Jean Guiloineau, Christian Bourgois éditeur, 307 pp., 140 F.
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publié le 15 juin 1995 à 6h11