Critique

Hommes, sweet hommes. A travers ses lettres à mentor, ami et amant, la poétesse américaine Emily Dickinson (1830-1886) déploie d'habiles jeux de séduction comme autant de témoignages de son rapport trouble au masculin. EMILY DICKINSON, Lettres au maître, à l'ami, au précepteur, à l'amant. Traduit de l'anglais par Claire Malroux. José Corti, « Domaine romantique », 264 pp. , 120 F.

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publié le 17 juin 1999 à 23h15

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