Critique

Vive, la mariéeUne jeune femme perd (ou égare? ) son mari. Par l'auteur d'«Oblomov». Ivan Gontcharov, Nymphodora Ivanovna. Traduit du russe par André Cabaret. Circé, 96 pp., 72 F.

Article réservé aux abonnés
publié le 21 octobre 1999 à 1h16

Les plus lus