On est content de les retrouver Côté français: Christine Angot (Flammarion), Camille Laurens et Jacques Jouet (POL), Hélène Cixous et Pascal Quignard (Galilée), Eric Faye et Luc Lang (Stock), Stéphane Audeguy (Galllimard), Alain Fleisher, Pavel Hak et Alain Mabanckou (Seuil), Eric Chevillard et Laurent Mauvignier (Minuit), François Salvaing, Jacques Roubaud et François Bon (Fayard), Lorette Nobécourt et Jean-Marc Roberts (Grasset), Raymond Federman (Al Dante), Pierre Senges et Chloé Delaume (Verticales), Jacques A. Bertrand (Julliard). Verdier publie un texte posthume de Michèle Desbordes.
Côté étranger: Javier Cercas et Cees Nooteboom (Actes Sud), Martin Suter (Bourgois), Jaan Kross (Noir sur blanc), Karel Schoeman (Phébus), Magda Szabo (Viviane Hamy), Kent Haruf (Laffont), Sarah Waters (Denoël), Rick Moody et Jonathan Safran Foer (L'Olivier), James Kelman et Leonardo Padura (Métailié).
Premiers romans Deux premiers romans étrangers dominent la rentrée: Train de nuit pour Lisbonne, quête philosophique de Pascal Mercier, un écrivain suisse (traduit de l'allemand, chez Maren Sell), et l'Histoire de l'amour, roman gigogne de Nicole Krauss (traduit de l'américain, chez Gallimard). Côté français, le plus impressionnant, par l'ambition (décrire la machine nazie au quotidien), et l'épaisseur du livre (neuf cent pages sans respirer), les Bienveillantes, mémoires fictives d'un jeune officier SS