Star Wars, série cinématographique connue en France sous le nom de Guerre des étoiles, a fait l'objet de nombreux travaux de recherche dans divers champs disciplinaires. Citons les plus récents avec, en physique, l'étude «Application des matériaux bianisotropes synthétiques à l'hyperpropulsion des destroyers stellaires» parue l'an dernier dans les Applied Physics Letters (vol. 12, n°4). En zoologie, avec «Inter-specific and intra-specific variability in fruit color preference in two species of Ewoks» accueillie en 2009 par Integrative Zoology, (vol. 6, n°3). En sociologie, enfin, avec «Habitus républicain et traitement de la discrimination raciale sur la planète Tatooine», qu'Aglae Eberdhur a confiée en 2010 à la revue Regards Sociologiques (n°39).
Restait à analyser la saga à la double lumière de la psychologie cognitive et de l'épidémiologie évolutive. C'est chose faite avec l'ouvrage la Guerre du retour contre attaque, de Thierry Vivien. Cette étude très illustrée abonde en révélations sur la sexualité de la princesse Leia, la nature de la Force et les usages hétérodoxes de l'hyperbate par Maître Yoda. Rappelons que Thierry Vivien a reçu en 1958 une médaille d'argent du CNRS pour ses travaux sur l'anisotropie magnétique, qu'il a rendue immédiatement. Depuis, il a renoncé à publier dans les Annals of Sex Research pour se consacrer au Yodablog (Yodablog.net).