Paul Fournel : «Il y a deux catégories de public. Un noyau dur de fidèles qui nous suit depuis des années, qui a participé à nos stages d'écriture. Une autre partie, certainement la plus importante et tournante, est formée de classes, de groupes universitaires, etc.»
Hervé Le Tellier : «Et puis il y a ceux qui se sont trompés de salle. On mise énormément sur l'erreur !»
Paul Fournel : «Il y en a qui ont vu de la lumière…»
Hervé Le Tellier : «Qui sont là sur un malentendu…»
Michèle Audin : «Dans nos habitués, certains sont identifiés, mais une majorité d'entre eux ne le sont pas par l'OuLiPo. Il y a des gens que je rencontre ailleurs qui m'interpellent : "Ah oui, hier soir…"»
Paul Fournel : «Un jour, dans le métro, un monsieur que je ne connaissais pas vient me voir et me dit : "A jeudi !"»
Michèle Audin : «Moi, j'ai eu dans l'autobus : "Ah, vous êtes Michèle !" La femme ne se rappelait pas mon nom, mais m'avait reconnue.»
Paul Fournel : «Ce sont en gros des profs de français et des auditeurs des Papous dans la tête [l'émission de Françoise Treussard sur France Culture, ndlr]»
Marcel Bénabou : «Le bouche à oreill