Serait-on une sainte relique au contact bénéfique ? Frédéric Lopez n’arrête pas de nous toucher. Main sur la nôtre, sur le bras… Mais non, c’est juste la faute à une hypertactilité dont il s’excuse. Tout en précisant que «des chercheurs ont prouvé que le toucher stimule l’ocytocine, l’hormone de l’attachement». Retenir l’attention de l’autre, être liant : ce pourrait être le programme de sa vie.
L'entame a pourtant été un peu frisquette, peut-être rapport aux piqûres régulières de notre Dr Garriberts. Dans le bar à vins soul-reggae de la Butte-aux-Cailles choisi par ses soins, en voisin, FL a commencé par ce préliminaire très professionnel-de-la-profession : «Dites-moi quel est votre angle.» Mais il nous répondra quatre heures durant - «Ma seule limite, avait prévenu le divorcé en garde alternée, c'est la représentation de théâtre de mon fils [15 ans, ndlr], à 20 heures.» Et s'il a bien un côté pie («je parle trop»), l'animal n'est ni volatil ni louvoyant. Du moins jusqu'au chapitre politique où il tait son vote d'un : «Quand je fais ce que je fais, on n'a qu'une obsession : ne pas être récupéré.» On a déjà vu enjeu plus décisif, mais bon…
Lopez entérine sans problème notre option : il est un héraut de la «feel good TV», celle du haut les cœurs - ensemble, c'est mieux - qui, avec la crise, prospère et donne dans l'Hexagone des émissions pansements comme L'Amour est dans le pré (M6), On ne choisit p