Menu
Libération

Histoires d'y voir clair

Article réservé aux abonnés
Ils s’accrochent aux branches et adorent les belles montures : cinq «pretty boys» racontent leur passion pour les lunettes.
Jules Carré-Merceur (Jérôme Bonnet pour Next)
publié le 3 septembre 2011 à 16h55
(mis à jour le 15 septembre 2011 à 15h22)

Jules Carré-Merceur, 21 ans, assistant attaché de presse

À quoi ressemblait votre première paire de lunettes ?
C'étaient des Ray-Ban, avec une monture en plastique noire plutôt rectangulaire. Je ne pourrais plus revenir à des verres aussi étroits maintenant.

Comment définiriez-vous votre style ?
Ca dépend des jours, de mon humeur mais souvent plutôt «preppy» avec des influences nautiques.

Une histoire (drôle ou pas) concernant l'une de vos paires ?
Tout petit, je portais de fausses lunettes juste pour m'amuser. Depuis quelques années je suis myope et ça ne s'arrange pas, je dois à présent porter tous les jours des lunettes, ça me donne un air plutôt sérieux, mais j'aime bien.

S'il ne restait qu'une seule paire ?
Sans hésiter celle que je porte actuellement, parce qu'entre toutes celles que j'ai, c'est la seule qui soit adaptée à ma vue actuelle.

Mériadek Caraes, 28 ans, chargé de production dans une galerie d’art contemporain

À quoi ressemblait votre première paire de lunettes?
C'était des lunettes de soleil tricolores offertes dans une cafétéria de supermarché quand j'avais 4 ans. Plus tard, en primaire, j'ai dû porter ma première paire de lunettes de vue en écailles, disproportionnées par rapport à mon visage. Je les perdais tout le temps.

Comment définiriez-vous votre style ?
Tootsie lisant Virginia Woolf dans un after pendant la Movida.

Une histoire (drôle ou pas) concernant l'une de vos paires ?
J'ai une paire qui, quand je la porte, me fait dit-on ressembler à Simon