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Robbie Williams retrouve son boys band Take that

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Take That (sans Robbie Williams) à Londres en 2005. (REUTERS)
par Fl.D.
publié le 12 octobre 2010 à 11h59

Les adolescentes des années 90 ne les ont peut-être pas oubliés. Avec East 17 et les New Kids on the block, les Take that ont inventé les boys bands, des groupes qui arriveront en France au milieu de la fin de la décennie, avec les (presque) regrettés Alliage, Worlds Apart et 2 be 3. Gary Barlow, Howard Donald, Jason Orange, Mark Owen et Robbie Williams se sont finalement reformés, quinze ans après leur dernier album ensemble. Leur nouveau disque The Progress sortira le 22 novembre, mais il devrait avoir du mal à retrouver les chiffres de ventes de leurs précédents albums: entre 1991 et 1995, date du départ de Robbie Williams pour une carrière solo, le groupe aura vendu plus de 25 millions d'albums.

Comme tous les boys bands, Take That a été créé par un producteur: Nigel Martin-Smith qui, voyant le succès des New Kids on the block, a décidé d'en créer l'équivalent en Angleterre. Après un casting à Manchester en 1990, le manager trouve ses cinq beaux gosses. S'en suivront cinq années où le groupe fera s'évanouir les adolescentes d'Europe grâce à des marcels en cotons, des chorégraphies au poil et des ballades molles et sucrées.

Mais en 1995, la star de Take that, Robbie Williams, quitte le groupe pour une carrière solo. Hésitante au départ, notamment à cause de problèmes de drogue et d'alcool, elle atteint des sommets à partir de 1997 avec Angels, élu meilleur single des vingt-cinq dernières années par les Brit awards. Avec des titres comme Millenium<