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Libération

Agathe Iracema, jeune voix brésilienne entre jazz et bossa

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publié le 26 août 2011 à 0h00
(mis à jour le 14 septembre 2011 à 11h21)

Agathe Iracema a eu, dans son enfance, l'habitude de s'endormir avec la bossa-nova de Caetano Veloso et de se réveiller au son de la trompette légendaire de Miles Davis.

La dualité de l'univers musical de son père, Rubens Santana, bassiste brésilien, l'a si bien bercée  qu'elle s'est invitée dans le sien, d'une maturité étonnante pour ses 20 ans. Avec Sarah Vaughan, Ella Fitzgerald, Chet Baker ou encore Cab Calloway comme référence, sa voix délicate et souriante tisse avec grâce et originalité un répertoire aux influences afro et latino : quelques compositions originales (Mister Perfect Game, Believe in Romance), des standards de jazz, latin et même pop, dont les réarrangements orchestrés par son contrebassiste Juan Se