Dans les locaux haussmaniens de Kitsuné, son fondateur Gildas Loaec reçoit au milieu des disques d’or, des multiples accessoires siglés Daft Punk dont il a été le directeur artistique, et des pièces de leur dernière collection. Le label-marque a sorti le 1er juillet
Kitsuné soleil mix
, une édition estivale de leurs célèbres compilations, toujours préceptrices en matières de tendances musicales. Une sélection dans la lignée des précédentes playlists, avec la présence de noms connus (Charlotte Gainsourg, Felix Da Housecat, M83, The Rapture), et la découverte de jeunes artistes, dont les noms (Rüfüs, Citizens!, Logo ou Moonlight Matters) seront peut-être sur toutes les bouches dans quelques mois.
«Kitsuné Soleil Mix» est votre seizième compilation, ce n’est pas lassant ?
Non, parce qu’on cherche de plus en plus à refléter la scène du moment, à être dans la nouveauté. Ça nous permet d’entrer en contact avec des nouveaux artistes, producteurs. Pour Two Door cinema club par exemple, ils avaient un titre sur une compilation, puis on a fait un single, on les a rencontré à Paris, et au final, on a fait l’album ensemble. Et puis ces compilations nous permettent de rester en contact avec le public, c’est devenu un rendez-vous.
Les conditions idéales pour écouter le Kitsuné soleil mix ?
Il faut une bonne ambiance déjà, mais je pense que la compilation suffit pour ça... On voulait que les titres soient frais, pop et fun, et que le disque so