Menu
Libération

Le top des pires groupes hipster

Article réservé aux abonnés
Le site du «LA Weekly» recense les vingt têtes à claques de la musique indé.
Grizzly Bear (DR)
par
publié le 28 août 2012 à 18h11
(mis à jour le 28 août 2012 à 18h15)

Le site de l'hebdomadaire LA Weekly est passé spécialiste dans l'art des listes aux tendances provocatrices. Récemment, on a vu passer « les 20 musiciens les plus blancs », « les 20 pires groupes », « les 20 musiciennes les plus sexy », etc...

Ces listes sont très subjectives mais souvent pas dénuées d'intérêt ni de pertinence. La plus récente recense les 20 pires groupes hipster. Petit aperçu de cinq artistes qui se font tailler un beau costard.

Numéro 20 :  The Black Keys
Grief:  la combinaison guitare/batterie pour faire du blues punk n'était déjà pas terrible du temps des White Stripes, mais au moins Jack White avait l'avantage d'être un bon musicien. Tandis le guitariste des Black Keys, Dan Auerbach, n'est qu'un poseur qui passe plus de temps à soigner sa barbe qu'à améliorer sa technique.
Notre avis: The Black Keys ont fait leur temps.

Numéro 16: MGMT
Grief: Le duo américain s'est approprié les LOLcats, les synthés et l'indie-dance psychédélique pour faire de la pop crossover (c'est-à-dire issue de croisements musicaux douteux). Ils n'ont jamais fait qu'un seul tube, Time To Pretend, qui prône un modèle de vie rock'n'r