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Libération

Occupy 777, une semaine de débauche dans l’avion de Rihanna

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Le Rihannaplane n'était pas une sinécure si l'on en croit le témoignage anonyme d'un passager de cette folle équipée.
publié le 21 novembre 2012 à 11h33

Il y a une semaine encore, les journalistes invités sur le 777tour, mini tournée mondiale de Rihanna (7 étapes, 7 villes, 7 concerts dont Paris le 17 novembre), semblaient vernis. Deux cent privilégiés (fans et journalistes) prenaient place mercredi dernier dans un Boeing 777 spécialement affrété pour qu'ils puissent accompagner la chanteuse de la Barbade dans sa semaine de promo (Unapologetic son nouvel album est sorti lundi).

Mais le 777 tour s'est vite transformé en cauchemar à en croire le témoignage anonyme de l'un des journalistes présents à bord.

Au départ de Mexico, tout se passe bien : Rihanna rend visite à ses invités, remplit les coupes de champagne et invite ses convives à faire la fête avec elle une semaine durant. «Avion privé, prestations intimistes, hôtels gratuits et after shows bondés de célébrités», le journaliste se voit déjà «bras dessus bras dessous» avec son hôtesse. Mais après ce premier contact, la star «s'est volatilisée, complètement volatilisée». Et c'est là que les choses sérieuses ont commencé. Esseulés, contraints de patienter des heures dans l'avion ou dans des bus bloqués sur des tarmacs déserts, le mora