Et voilà : à cause du New York Times, on aurait donc été des dizaines de millions dans le monde à se secouer la nouille illégalement sur le viral phénomène (et sur YouTube) du «Harlem Shake». Plusieurs des samples utilisés dans «l'œuvre» de DJ Baauer, Con los terroristas. Let's do the Harlem Shake, auraient en effet été utilisés sans autorisation de leurs auteurs, en l'occurence Hector «El Father» Delgado (Con Los Terroristas), depuis reconverti en prêtre évangélique (y-a-t-il un lien de cause à effet ?) et le rappeur Jayson Musson (Do the harlem shake, la phrase culte). Ils n'étaient pas au courant de la reprise de leurs textes. Ça shake un peu le droit d'auteur, là. Vu le nombre de reprises hystériques tous azimuts, c'est embêtant et ça va être difficile pour DJ Baauer de se cacher derrière son masque. Si le DJ dit avoir trouvé sur Internet (mais où donc ?) le fameux Con Los Terroristas, le New-York Times avance que le refrain vient de la chanson Maldades sortie par Hector Delgado en 2006.
Et le producteur de celui-ci de se dresser sur ses ergots juridiques, menaçant de faire interdire le Harlem shake s'il n'obtient pas un dédommagement de Mad Decent Records (le label qui a