Aux côtés des Chet Faker, Flume ou encore du tricolore Fakear, le duo de Seattle Odesza (photo) compte parmi le gratin des artistes électroniques qui n'hésitent pas à composer des hymnes (très) pop dans le but de faire danser. Enfin surtout les jeunes. Et les filles de préférence. Nouveaux groupes à minettes ? (Le 2 avril à l'Olympia, 75009.)
Qu'est-ce que l'on peut faire un dimanche après-midi à Lyon ? Aller au parc de la Tête-d'Or mater trois singes pelés et deux boas en cloque. Pas notre genre. On préfère prendre la direction de la banlieue Nord pour remuer la tête et les jambes au son de la techno indestructible de Len Faki (photo). Mais on sera de retour pour Stade 2, promis. (Le 3 avril à Villeurbanne, Rhône.)
Leur nom est un clin d'œil au Pôle Emploi britannique, dont un formulaire se nomme également UB40. Mais, depuis leur formation en 1978 et la pléiade de hits qu'ils ont alignés, de Food for Thought à Kingston Town en passant par Red Red Wine, le groupe de Birmingham n'a pas eu besoin de pointer au chômage. Jusqu'à aujourd'hui en tout cas. (Le 5 avril à Sausheim, Haut-Rhin.) Photos Tonje Thilesen. DR