- Des Petits Chanteurs à la croix de bois en passant par les hippies les Poppys, la chanson française nous a abreuvés dans les années 60 et 70 de chorales enfantines. Le phénomène s'était heureusement tari. Il est relifté par les Kids United. «Non, non, rien n'a changé.» Hélas. (Ce samedi à Cournon, Zénith.)
- Dans la série des groupes «mash-up», il fallait avoir l'idée de mélanger l'inénarrable Francky Vincent, celui du fameux Tu veux mon zizi, avec les disco-queer Frankie Goes to Hollywood. Le résultat ? Franky Goes to Pointe-à-Pitre. Pour une musique tout aussi improbable, entre post-rock et punk-zouk. Quelques futurs hits : Kazikunu, Cameroun Diaz ou Yannick Quinoa… (Ce dimanche à Rodez, le Club.)
- Les révolutions arabes de ces dernières années ne sont pas que politique mais aussi musicales. Et notamment électroniques, avec l'arrivée d'une multitude d'artistes venus du Maghreb et du Moyen-Orient, en particulier de Palestine. Ils sont mis en lumière par le festival Arabofolies, qui démarre par une carte blanche à Electrosteen (photo). (Vendredi à Paris, Institut du monde arabe.)