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HEURE PAR HEURE, LA JOURNEE DE JEUDI

Cérémonie œcuménique à Rio

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Les causes de l'accident de l'A330 restent toujours floues. Certains évoquent une vitesse «erronée», voire une «désintégration» en vol.
La frégate brésilienne Bosisio participe au difficile travail de récupération des débris de l'Airbus A330 d'Air France, mais l'espoir de localiser les boîtes noires semble mince. (© AFP photo AFP)
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publié le 4 juin 2009 à 11h08
(mis à jour le 4 juin 2009 à 19h06)

17h45: Brésiliens et Français se sont unis lors d'une cérémonie religieuse oecuménique à Rio en hommage aux 228 victimes du vol Rio-Paris d'Air France, en présence de membres des familles et des ministres des Affaires étrangères des deux pays. Le ministre français des Affaires étrangères Bernard Kouchner et son homologue brésilien Celso Amorim étaient présents.

16h00: Le Bureau Enquête Accidents (BEA) et Airbus ont démenti les informations du «Monde», qui avançait ce matin que le constructeur allait publier une recommandation destinée à toutes les compagnies utilisant l'A330. Celle-ci prévoyait, selon le quotidien, de rappeler «qu'en cas de conditions météorologiques difficiles, les équipages doivent conserver la poussée des réacteurs et l'assiette correctes pour garder l'avion en ligne».

15h30: Les restes de l'Airbus d'Air France ont commencé jeudi à être récupérés dans l'océan Atlantique, selon un porte-parole de l'armée de l'air brésilienne.

12h45: Air France a confirmé aux familles des victimes de l'A330 qu'il n'y avait plus «aucun espoir» de retrouver des survivants. La direction de la compagnie a expliqué que «l'avion n'avait pas pu amerrir», qu'il s'était «désintégré soit en l'air soit au contact de l'eau».

12h30: Les avions militaires français déployés dans la zone de recherche du vol AF447 d'Air France n'ont pas encore détecté de débris susc