Les dernières publications sur la page Facebook de Libération ont été assaillies de commentaires de partisans de Bachar al-Assad, le président syrien.
Un copié-collé du message ci-dessous, écrit dans un français approximatif qui semble traduit par Google, revient, en particulier, à de nombreuses reprises:
Ou encore:
Libération a banni les auteurs, et leurs commentaires avec.
La page du Parlement européen a subi le même genre d'assaut, la nuit dernière, au soir de l'entrée en vigueur de sanctions contre 13 responsables syriens. La page «a été spammée massivement (...). Les posts sont hautement répétitifs, et proviennent apparemment d'un nombre limités d'utilisateurs», écrit le Parlement sur sa page. Si l'attaque remonte à la nuit dernière, elle a visé «tous les sujets, remontant au moins jusqu'au début du mois d'avril».
Un petit groupe, des milliers de posts
L'attaque a été menée par «un petit groupe, pas plus de 50 personnes, précise Jaume Duch, le porte-parole du Parlement. Mais ils ont réussi à poster des milliers et des milliers de posts», en seulement quelques heures. «Derrière ces utilisateurs, il y a forcément une machine», croit-il.
Le Parlement a donc décidé de bannir ces utilisateurs, «pas p