Menu
Libération

Carte blanche aux géographes

Article réservé aux abonnés
publié le 1er juillet 2011 à 0h00

Après les Libés des écrivains, des philosophes, des historiens et des cinéastes, bienvenue aux géographes. Pour sa première édition en la matière, Libération a suivi son modèle habituel : confier à des non-journalistes, géographes et cartographes, le soin de commenter l'actualité, avec leur regard, leur expertise, leur imagination.

L'idée de ce numéro spécial s'est nourrie du rendez-vous hebdomadaire avec la carte que nous publions chaque samedi depuis un an dans le Mag. Une carte très éloquente sur tout ce qui bouge dans le vaste monde, aborde tous les domaines, de la géopolitique aux mœurs en passant par la culture et autres fantaisies planétaires ou franco-françaises.

Partenaire de la revue Autrement, Libération fournit à ses lecteurs des cartes qui saisissent les événements à un instant «I», entre mouvements et bouleversements.

La chronique géographique est parfaitement adaptée à l’analyse des comportements et déplacements de toutes sortes, s’agissant d’espaces, de territoires, de frontières. La carte n’est pas seulement la matérialisation d’un lieu, (pays ou continent, mer ou océan), surtout en ces temps de mondialisation. Elle peut être la traduction d’un débat d’idées - hommes, femmes, migrations, animaux, médecine, religion, amour, politique… En clair, une palette de toutes les réflexions et émotions.

C’est peu dire que la lecture géographique est d’une infinie richesse, à condition qu’on en admette la dimension ethnologique. Observer