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Repères : Libye

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Le monde arabe en ébullitiondossier
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publié le 25 août 2011 à 0h00

1,7

million de dollars. C'est la récompense offerte par les rebelles pour la tête de Khadafi, mort ou vif. «Les membres de son cercle qui le tueront ou le captureront auront l'amnistie garantie», a indiqué le CNT.

Créé le 27 février, à Benghazi, le Conseil national de transition (CNT), qui coordonne la rébellion, a été reconnu par plus de 40 pays. Le premier à l'avoir fait a été la France, le 10 mars, suivi par le Qatar le 28 mars et l'Italie le 4 avril. Le CNT a annoncé des élections dans les huit mois.

L’implication française

20 000 heures de vol.

20 % des frappes aériennes de la coalition.

85 % des frappes des hélicoptères de combat, pour un millier d’objectifs militaires détruits.

Et «quelques instructeurs», selon Alain Juppé, pour «encadrer et former les troupes du Conseil national de transition».

«La chute de Bab al-Azizia a marqué la fin du régime de Kadhafi à Tripoli et en Libye […], le régime de Kadhafi est fini à 95%.»

Le colonel Abdallah Abou Afra porte-parole militaire de la rébellion

Le Nicaragua serait prêt à accorder l'asile au dirigeant libyen en fuite Muammar al-Kadhafi. Le président nicaraguayen, Daniel Ortega, s'est lié d'amitié avec le Guide dans les années 80, lorsqu'il dirigeait un gouvernement révolutionnaire (1979-1990).

Quatre journalistes italiens ont été enlevés en Libye, ont annoncé hier soir la chaîne de télévision italienne Sky Tg24 et l'agence de presse