L'essentiel:
•Le régime syrien a libéré plus de 1 100 personnes impliquées dans les «événements».
•La Turquie, ancien allié de Damas, hausse le ton. Elle a menacé de couper son approvisionnement en électricité et le Premier ministre Erdogan a déclaré avoir «perdu espoir» sur le régime syrien.
•Avec 70 morts, la journée de lundi a été l'une des plus sanglantes depuis le début de la contestation.
18h30. Le Conseil de sécurité des Nations unies a "condamné dans les termes les plus fermes" mardi les attaques perpétrées contre plusieurs ambassades et services consulaires en Syrie.
Cette déclaration intervient au moment où les pays occidentaux du Conseil s'efforçent de parvenir à un accord entre les quinze pays du Conseil pour au moins condamner le président syrien Bachar al-Assad pour la répression sanglante des manifestations.
D'ordinaire divisé sur la Syrie et la répression sanglante des manifestations, le Conseil a exprimé "sa profonde inquiétude à propos de la répétition de telles attaques" et demande aux autorités syriennes de "protéger les propriétés diplomatiques et leurs personnels" et de "respecter leurs obligations internationales à cet égard".
17h30. Les autorités syriennes ont libéré mardi plus de 1 100 détenus "impliqué