Un an et demi après son mariage avec un futur roi, Kate Middleton, aujourd’hui princesse Catherine et duchesse de Cambridge, goûte aux aspects moins charmants de sa vie dorée : l’indélicatesse des tabloïds. Le comble étant que le scandale arrive par l’intermédiaire de la presse française, censée être soumise à des lois sur la protection de la vie privée bien plus sévères qu’au Royaume-Uni.
«Furieux». Le coupable, c'est le magazine Closer, qui publie cette semaine une série de photos du couple royal en vacances dans le Luberon dans le château français d'un oncle du prince William. Et, so shocking, sur ces images, prises au téléobjectif et par ailleurs extrêmement floues, la princesse Kate apparaît les seins nus. Les commentaires officiels sur l'état d'esprit de William et Kate, en voyage en Asie du Sud-Est, sont rapidement passés d'un timide «profondément attristés» à un tonitruant «absolument furieux». Et le couple a décidé d'attaquer Closerpour «atteinte à la vie privée».
Les photos avaient été proposées à la presse britannique la semaine dernière, laquelle, dans un bel élan vertueux, avait décliné la proposition. Plus que la pudeur, la raison en est surtout que les journaux d'outre-Manche marchent sur des œufs depuis le scandale de News of the World et des écoutes téléphoniques illégales de personnalités. Cette affaire a entraîné la création d'une commission d'enquête qui a mis à jour l'étendue d