L'essentiel
• Les Etats-Unis, le Royaume-Uni et la France sont prêts à une intervention militaire en Syrie, en réaction à l’attaque au gaz menée la semaine dernière dans les faubourgs de Damas. Mais ils cherchent un cadre juridique pour asseoir une telle intervention.
• Une réunion s'est tenue au Conseil de sécurité de l'ONU. Le parlement britannique se rassemble quant à lui demain pour voter sur l’attitude que Londres adoptera.
• Sur le terrain, les inspecteurs de l'ONU ont repris aujourd'hui leur mission visant à faire la lumière sur l'attaque chimique près de Damas qui, selon l'opposition, avait fait plus de 1 300 morts, majoritairement des femmes et des enfants.
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Minuit 30. Barack Obama indique qu'il n'a pas encore pris de décision sur la réaction américaine à l'utilisation d'armes chimiques en Syrie, mais qu'elle serait destinée à dissuader le régime de recommencer. Assurant que son pays avait conclu à la responsabilité du gouvernement de Bachar al-Assad quant à l'attaque chimique meurtrière de la semaine dernière près de Damas, le président des Etats-Unis a aussi écarté une implication directe de son pays dans la guerre civile syrienne, dans un entre