L'essentiel
• Revers pour David Cameron au Royaume-Uni : malgré son appel à condamner l'attaque chimique menée en Syrie, les élus de la Chambre des communes ont rejeté hier la motion qu'il leur avait soumise, barrant ainsi la route à une intervention militaire de Londres.
• A Washington, la Maison blanche a laissé entendre que les Etats-Unis pourraient intervenir seuls, mais Barack Obama a pris soin de souligner que rien n'avait encore été décidé.
• Réuni hier soir à la demande de la Russie, fermement alliée au régime de Damas, le conseil de sécurité de l'ONU n'a pu de son côté que constater ses divisions sur le sujet.
• Les inspecteurs de l'ONU chargés de faire la lumière sur l'emploi d'armes chimiques dans l'attaque du 21 août arrivent de leur côté au terme de leur mission, et doivent quitter le pays demain.
Retrouvez ici le déroulé de la journée d'hier.
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23h30. Les «preuves» avancées par les Etats-Unis sur une prétendue implication du pouvoir syrien dans une attaque chimique le 21 août ne sont que «des mensonges», estime le ministère syrien des Affaires étrangères. «Ce que l'administration américaine a qual