Il est toujours dans un sale état, voire mort. Rostom Ghazaleh, l'ex-chef des services de renseignement syriens au Liban avait été battu comme plâtre et torturé il y a quelques semaines à Damas par les gros bras d'un autre chef d'un service secret (lire Libération du 8 avril). Plusieurs médias libanais, dont la chaîne Al-Mayadeen (proche du régime syrien et du Hezbollah), assurent qu'il est décédé, alors que le quotidien saoudien Al-Sharq al-Awsat a annoncé qu'il se trouvait dans un état critique et avait été limogé de son poste de responsable de la sécurité politique. Ses critiques adressées au régime sur la présence de trop nombreux combattants iraniens et du Hezbollah dans les forces luttant contre la rébellion avaient motivé son tabassage.Photo AFP
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