«La vie humaine a naturellement de la valeur, mais ici elle a une valeur sociale, parce que chaque décès nous rapproche de la mort du village», a expliqué son maire, Davide Zicchinella, qui, pour sauver la commune, a publié un arrêté imposant à ses administrés un check-up médical annuel obligatoire, sous peine d'un impôt supplémentaire de 30 euros par an. Depuis, il y a la queue au nouveau centre de soins gériatriques, installé dans l'ancienne école et financé par des fonds européens. Pour aider ses administrés à atteindre l'espérance de vie (83 ans en Italie), le maire organise aussi des transports en bus réguliers vers un établissement thermal de la région.
Le village italien de Sellia, en Calabre, où il ne reste plus que 500 habitants, a pris un arrêté pour empêcher ses habitants de mourir.
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publié le 15 janvier 2016 à 19h41
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