Ils sont accusés d’entraver le processus de stabilisation du pays. Les deux responsables s’opposent en effet au gouvernement d’unité nationale, issu de mois de négociations sous l’égide de l’ONU. Les tractations se poursuivent pour tenter d’obtenir le soutien politique le plus large possible à sa composition, avec une nouvelle échéance fixée au 5 février.
L’UE va examiner lundi le placement sur liste noire de deux responsables politiques de Tripoli.
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Publié le 26/01/2016 à 19h51
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