du président Nkurunziza pour pousser les autorités au dialogue avec l’opposition. Le pays a plongé dans la violence après la répression en avril 2015 de manifestations contre un troisième mandat du Président, réélu en juillet dans un scrutin boycotté par l’opposition. Les manifestations, un coup d’Etat manqué et une rébellion armée ont fait 400 morts et contraint 200 000 personnes à l’exil, selon l’ONU.
Au Burundi, l’UE a suspendu lundi son aide directe au régime
par
publié le 14 mars 2016 à 20h11
Dans la même rubrique