notamment après la coupure, quarante-huit heures durant, de toutes les télécommunications, officiellement pour empêcher l'opposition de publier des résultats «illégaux». Votes anticipés, bureaux fictifs… les opposants à Denis Sassou-Nguesso, qui cumule plus de trente ans à la tête de cet Etat pétrolier d'Afrique centrale, dénoncent d'ores et déjà une élection frauduleuse.
Le premier tour de la présidentielle congolaise se déroulait dimanche sous haute tension,
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publié le 20 mars 2016 à 19h51
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