Le Quai d'Orsay a dénoncé mardi le «contexte préoccupant» dans lequel s'est déroulée la présidentielle congolaise dimanche, rappelant l'attachement de la France «à la transparence et à l'équité du processus électoral». Après modification de la Constitution, Denis Sassou-Nguesso (au pouvoir depuis trente-deux ans) a pu briguer un nouveau mandat. Mardi, les services SMS et web mobile restaient indisponibles.
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