a affirmé le ministère de l'Intérieur. Récemment, un seul étranger a été enlevé en Egypte : un étudiant italien, le 25 janvier. Son corps avait été retrouvé dans un fossé, portant les stigmates de nombreux actes de torture. Depuis, la presse italienne et les milieux diplomatiques occidentaux en Egypte soupçonnent des membres des services de sécurité. Ce que le gouvernement avait démenti, promettant une «enquête transparente» sur la mort de ce doctorantqui effectuait un mémoire sur les syndicats ouvriers en Egypte. Certains services de la police et du renseignement sont régulièrement accusés par les organisations de défense des droits de l'homme de disparitions forcées, de détentions illégales d'opposants, voire d'actes de torture et d'assassinat.
La police égyptienne aurait abattu, jeudi au Caire, les membres d’un gang qui se faisaient passer pour des policiers afin d’enlever des étrangers,
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publié le 24 mars 2016 à 19h41
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