«Urgente et indispensable», selon le médiateur des Nations unies, la trêve, doit tenir jusqu'au 18 avril et l'ouverture de pourparlers de paix à Koweït sous l'égide de l'ONU. Si les rebelles houthis conservent le contrôle de la capitale, Sanaa, depuis septembre 2014, les loyalistes restent, eux, bloqués à Taëz (sud-ouest).
C’est une trêve précaire qui a débuté lundi dans un pays épuisé par un an de bombardements et de combats.
par Luc Mathieu
publié le 11 avril 2016 à 20h31
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