C'est le nombre d'hôpitaux (quatre du côté rebelle et deux du côté gouvernemental) qui ont été durement frappés par les violences qui font rage à Alep depuis dix jours. L'agence officielle syrienne Sana a indiqué mardi que «des obus tirés par les rebelles contre la maternité Al-Dabbit, dans le quartier du Gouvernorat [dans le centre de la ville, ndlr]» avaient tué «trois femmes et fait 17 blessés selon un premier bilan». Le bombardement a été confirmé par l'Observatoire syrien des droits de l'homme. Cette intensification des violences a fait voler en éclats le cessez-le-feu entré en vigueur le 27 février.
Dans la même rubrique
Les plus lus