Et c'est le maire libéral de la cité, réputée pour ses sex-shops et ses maisons closes, qui porte le projet. Il ne s'agira pas de censurer les sites X mais de sensibiliser aux ravages de cette industrie : regarder du porno promouverait «l'exploitation des femmes et les violences faites aux femmes». Les maisons closes, par contre, ça va.
Des citoyens, associations et élus de Toowomba (dans l’Est australien) ont appelé à la création d’une «ville sans porno».
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publié le 16 octobre 2016 à 20h41
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