Les journalistes de Libération n'ont pas réussi à se rendre dans Alep-Est, contrôlé par les rebelles. A cause du siège en place depuis cet été, et parce que la frontière turque est bloquée. Libération ne s'est en outre pas vu accorder de visa depuis des années. Mais notre quotidien a toutefois établi des contacts directs avec des habitants et des rebelles d'Alep-Est. Certains sont des connaissances de longue date, rencontrés auparavant plusieurs fois en Syrie ou en Turquie. D'autres témoignages ont été récupérés via des fils de discussion Whatsapp mis en place par des rebelles, des civils et des humanitaires. Libération se fie enfin aux agences de presse internationales qui ont des correspondants locaux.
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