Celle-ci a annoncé lundi avoir accordé 30 000 euros de dommages et intérêts à chacun des deux parents et à la jeune fille concernés, qui avaient lancé une procédure au civil en 2015. Cette dernière avait découvert lors d’une prise de sang en 2014 que son groupe sanguin ne correspondait pas à celui de ses documents de naissance originaux. Des tests médicaux et ADN avaient alors confirmé qu’elle n’était pas la fille génétique de la mère qui l’a élevée. La clinique universitaire de Graz, où avait accouché la mère, avait donc lancé un appel aux femmes ayant accouché entre le 15 octobre et le 20 novembre 1990, afin qu’elles se soumettent à un test ADN. Mais les tests pratiqués n’ont pas permis de découvrir qui est la mère de l’enfant.
Un hôpital de Graz, dans le sud de l’Autriche, a été jugé responsable d’un échange de bébés à la naissance, il y a vingt-six ans, et condamné par la justice.
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publié le 12 juin 2017 à 20h26
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