en place depuis moins de six mois, sur fond de luttes au sein du Parti social-démocrate. Artisan de la victoire du parti aux législatives en décembre, Liviu Dragnea, condamné pour fraude électorale, avait dû renoncer à diriger le gouvernement. Grindeanu a sans doute payé sa réticence envers l’assouplissement des lois anticorruption voulu par Dragnea.
La majorité au pouvoir en Roumanie a adopté mercredi une motion de censure contre son Premier ministre, Sorin Grindeanu,
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publié le 21 juin 2017 à 20h46
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