Le président soudanais, visé par deux mandats d’arrêt internationaux pour génocide, crimes contre l’humanité et crimes de guerre au Darfour, aurait pu être arrêté sur le sol sud-africain en juin 2015, après sa participation à un sommet de l’Union africaine à Johannesbourg. Mais Pretoria avait laissé son avion de décoller d’une base militaire.
L’Afrique du Sud a «empêché la Cour pénale internationale d’exercer ses fonctions» en laissant courir Omar el-Béchir, a accusé jeudi la CPI.
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publié le 6 juillet 2017 à 21h26
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