qui a connu une pénurie d’oxygène. Yogi Adityanath, ministre en chef de l’Uttar Pradesh, Etat dans lequel a eu lieu la catastrophe, s’est rendu sur place dimanche, alors que les proches des victimes réclamaient des réponses. Les partis d’opposition et les critiques du gouvernement ont demandé la démission de ce prêtre hindou, qui avait remporté les élections en mars dans cet Etat, le plus peuplé de l’Inde. Le bilan est provisoire et pourrait s’aggraver. Selon des médias indiens, la société fournissant les bonbonnes d’oxygène aurait mis fin à ses services en raison du non-paiement de factures, certaines remontant au mois de novembre. Les responsables locaux ont concédé qu’il y avait eu une interruption de l’approvisionnement à l’hôpital, mais refusent d’en faire la cause des décès. Une enquête a été ouverte.
La colère monte après la mort d’au moins 64 enfants dans un hôpital public du nord de l’Inde,
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publié le 13 août 2017 à 20h46
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