L'ambassadrice de l'Equateur auprès de l'ONU était mardi à Paris pour défendre le projet d'un traité onusien sur la responsabilité des multinationales envers les violations des droits humains. Depuis juin 2014, le Conseil des droits de l'homme des Nations unies planche sur l'élaboration d'une législation qui rendrait les multinationales responsables devant la justice internationale des infractions commises par elles, mais aussi par des acteurs de leur chaîne de production. Une loi similaire existe déjà en France : votée en mars, elle oblige les entreprises de plus de 5 000 salariés à publier «un plan de vigilance».
«La mondialisation a besoin d’un pacte éthique et de transparence pour se réguler et protéger les hommes comme l’environnement.»
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publié le 26 septembre 2017 à 20h36
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