dans une affaire de ventes d’armes qui tient le pays en haleine depuis des années. L’actuel chef de l’Etat est accusé d’avoir touché, alors qu’il était vice-président, des pots-de-vin pour un contrat d’armement de 4,2 milliards d’euros signé en 1999 par l’Afrique du Sud avec plusieurs entreprises européennes, dont la française Thales.
La justice sud-africaine a rouvert la voie à un éventuel procès pour corruption contre le président Jacob Zuma
par
publié le 13 octobre 2017 à 21h06
Dans la même rubrique