Le dirigeant indépendantiste catalan destitué, parti à Bruxelles, fait l’objet d’une enquête pour sédition et rébellion. Avec 13 de ses conseillers (ministres), il est convoqué jeudi à Madrid par une juge de l’Audience nationale, une juridiction spécialisée dans les dossiers complexes, qui pourrait l’inculper si elle suit les réquisitions du ministère public.
Carles Puigdemont ne se rendra pas à la convocation de la justice espagnole.
par
publié le 1er novembre 2017 à 21h16
Dans la même rubrique