L'un d'eux est grièvement blessé, selon le ministère de l'Intérieur, qui a attribué l'attaque à un «salafiste». Arrêté, l'homme a avoué, selon les informations préliminaires, avoir adopté la pensée takfiriste (extrémiste) il y a trois ans et considérer les membres des forces de l'ordre comme des tawaghit (tyrans) contre lesquels il faut mener le jihad. Photo Reuters
Deux policiers tunisiens ont été poignardés devant le Parlement mercredi
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publié le 1er novembre 2017 à 18h56
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