laissant seuls les Etats-Unis dans leur décision de quitter le pacte. «Le représentant syrien a indiqué qu'une loi avait été adoptée [par son pays] en vue de ratifier l'accord de Paris, selon Cynthia Elliott, du think tank américain WRI, organisation ayant également rang d'observateur au processus de négociations. Il a souligné que tous les pays avaient une responsabilité, mais aussi évoqué leur intention de se consacrer à leurs priorités nationales, notamment la reconstruction après la guerre.» L'accord de Paris, obtenu lors de la COP 21, en 2015 vise à limiter l'augmentation de la température planétaire à 2° C, voire 1,5° C d'ici la fin du siècle (par rapport à l'époque préindustrielle). Le Nicaragua l'ayant signé fin octobre, les Etats-Unis se retrouvent seuls au monde à s'opposer à cet accord : Donald Trump avait annoncé le retrait du pays le 1^er juin.