alors que les tribunaux usaient jusqu'ici des incriminations de «débauche» ou de «prostitution» pour condamner les homosexuels. En octobre, plusieurs députés ont proposé un texte prévoyant de un à trois ans de prison pour les personnes ayant eu des relations homosexuelles. Et jusqu'à cinq ans en cas de récidive. «Un revers pour les droits de l'homme», selon Amnesty.
Amnesty International a dénoncé jeudi un projet de loi criminalisant l’homosexualité en Egypte,
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publié le 9 novembre 2017 à 20h06
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