après une plainte d'habitantes de Mashhad (nord-est). «Le journal avait qualifié de prostituées une partie des femmes du quartier», selon l'adjoint du procureur cité par l'agence. Dans un reportage sur l'assassinat d'une fillette dans un quartier pauvre, un responsable associatif avait déploré les maisons de prostitution et la vente de drogue. La caution (9 800 euros) n'ayant pu être versée, Rahmanian a été maintenu en détention, d'après le journal Khorassan.
Le directeur du quotidien réformateur iranien Shargh, Mehdi Rahmanian, a été arrêté samedi
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publié le 29 avril 2018 à 20h26
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