Mercredi, le Congrès américain a voté de nouvelles sanctions économiques contre la Russie, qu'il juge responsable de l'empoisonnement au Novitchok de l'ancien agent double russe Sergueï Skripal et de sa fille, en mars au Royaume-Uni. De quoi embarrasser Donald Trump, partisan d'un rapprochement avec Vladimir Poutine, auquel les élus républicains sont fermement opposés, analyse Martin Quencez, chercheur au German Marshall Fund à Paris, dans une interview à Libération.
«A la Maison Blanche, on pense que le Congrès saborde la politique de Trump»
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publié le 9 août 2018 à 20h36
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