et de sa fille Ioulia, en mars à Salisbury (en Angleterre). «Ni les hautes autorités de la Russie ni les responsables d'un niveau moins important […] n'ont quoi que ce soit à voir avec ce qui s'est passé à Salisbury», a ainsi réagi le Kremlin dans un communiqué. La Première ministre britannique, Theresa May, a affirmé devant le Parlement que l'attaque avait été perpétrée par deux «officiers» du renseignement militaire russe. La police a annoncé avoir lancé des mandats d'arrêt contre deux ressortissants russes et diffusé leurs photos. «Pour vérifier leurs identités, nous avons besoin d'une demande officielle de la partie britannique, a rappelé le Kremlin. Des déclarations devant le Parlement ne peuvent pas remplacer cette demande.»
Le Kremlin a jugé jeudi «inadmissibles» les accusations de Londres, qui a accusé le pouvoir russe d’être responsables de l’empoisonnement de l’ancien agent double russe Sergueï Skripal
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publié le 6 septembre 2018 à 21h06
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