selon Juan Guaidó, le chef de l’opposition vénézuélienne, qui l’a rencontrée à Caracas vendredi. Selon l’ONG Foro Penal, le pays compte près de 700 personnes détenues pour «motifs politiques». Le président Nicolás Maduro, accusé de violations des droits de l’homme, récuse le terme de «prisonniers politiques».
Michelle Bachelet, la haute-commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, va plaider auprès du régime vénézuelien pour «la libération des prisonniers politiques»,, la haute-commissaire de
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publié le 21 juin 2019 à 21h06
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