a appris l’AFP auprès de sources judiciaires. Ces personnes (des universitaires, des syndicalistes et des prédicateurs) ont été reconnues coupables d’avoir fourni des informations sur des emplacements, en vue de frappes aériennes. Elles faisaient partie d’un groupe de 36 prisonniers en détention depuis un an.
Yémen
Un tribunal des rebelles houthis, au Yémen, a condamné à morts 30 personnes, mardi, pour avoir «espionné» au profit de la coalition militaire dirigée par l’Arabie Saoudite,
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publié le 9 juillet 2019 à 20h46
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